Je suis professeur de maths dans un lycée mais à mi-temps. Par les temps qui courent, il n’est pas facile de boucler les fins de mois.
Alors depuis un an, je donne des cours de soutien à domicile. Ce n’est pas folichon mais ça m’aide à mettre du beurre dans les épinards.
À 46 ans je me demande bien quelle retraite je vais toucher avec ce que je travaille. Enfin bref, on en est pas encore là…
Un jour, mon téléphone sonna. Une maman me demanda si je pouvais m’occuper de son fils de 19 ans qui était en terminale. Il ramait complet en maths et avait fortement besoin de cours de soutien afin de ne pas se choper une sale note au bac.
Nous convenions alors d’un rendez-vous pour faire un point et rencontrer Tim, son fils.
Le jour venu, je me rendis chez eux. Les présentations faites, nous rentrions immédiatement dans le vif du sujet.
Par la suite, nous fixions les cours à une fréquence de deux fois par semaine à compter de la semaine suivante.
Le premier cours arriva rapidement. Comme à chaque fois, je me demandais comment cela allait se passer. Est-ce que l’entente sera bonne ? Sera-t-il assidu et à mon écoute ? J’allais rapidement avoir la réponse.
Nous étions seuls dans la maison, sa mère étant au travail. Nous prenions place autour de la table de la salle à manger.
Les premiers instants furent un peu tendus puis au fur et à mesure l’ambiance s’était détendue.
C’était un garçon qui avait pas mal de capacités mais qui ne savait pas les utiliser à bon escient.
Le premier cours s’était plutôt bien passé. Je lui laissai quelques exercices à faire pour notre prochain cours qui avait lieu le surlendemain.
Mais cette fois-ci n’allait pas se dérouler de la même manière…
J’arrivai à l’heure. Nous nous installions et là il m’annonça d’entrée qu’il n’avait pas fait les exercices demandés.
Ça commençait mal… Je me mis à l’engueuler et en guise de réponse il se barra dans sa chambre. Pour un garçon de 19 ans, niveau maturité on était pas top !
Je le laissais se calmer quelques instants puis allais le voir pour prendre la température. Je tapai à la porte. Il m’autorisa alors à entrer. Je m’assis sur le bord du lit et tentai d’engager la discussion.
Il s’excusa de s’être emporté et m’expliqua qu’il se sentait destabilisé lorsque j’étais à ses côtés.
J’essayais de comprendre le pourquoi du comment lorsqu’il m’embrassa illico.
Je fus surprise par ce baiser mais le rejetai aussitôt tout en me levant. Il me rattrapa par le bras et me vola une fois de plus un baiser. J’essayai de le repousser mais il me retenait dans ses bras.
À bout de force et d’envie aussi, je finis par me laisser aller. Ses lèvres étaient délicieuses et sa langue tournoyait parfaitement dans ma bouche en emportant la mienne au passage.
Tout en m’embrassant, il déboutonna mon chemisier sous lequel je portais un soutien gorge noir très échancré.
Une de ses mains descendait délicatement pour caresser ma poitrine. C’était très doux et excitant à la fois.
Nous sommes tombés sur le lit où pelotages et bisous se sont multipliés. Il remonta ma jupe et ôta ma culotte afin de faire apparaître au grand jour mon petit minou et sa fine touffe brune.
Il se dirigea directement vers mon clito qui lécha avec beaucoup de délicatesse au départ puis se mit à me l’aspirer. Je me délectais de ce cunni à tel point qu’il pouvait goûter mon jus.
Voyant que j’étais bien partie pour prendre mon pied, il stoppa ce léchage de chatte.
Il fit péter son pantalon et son boxer et je vis devant mes yeux une belle bite bien raide et surtout de taille assez conséquente.
Je me suis dis qu’il allait exploser mon intimité.
Il enfila une capote, me tira vers lui et enfonça son membre dans ma matrice.
J’étais en train de me faire baiser par un jeune de 19 ans ! Moi qui aie toujours critiqué les cougar…
Il me pilonnait de bons coups de bite à tel point que mes nichons s’agitaient dans tous les sens.
Je me rendis rapidement compte de la différence entre se faire prendre par un jeune homme et un homme de mon âge.
Sa cadence était folle et j’adorais ça. Je lui demandais même de donner tout ce qu’il avait. Il ne se fit pas prier et accéléra encore plus. Des petits couinements sortaient de ma bouche sans même que je les contrôle.
Je voyais qu’il prenait un plaisir fou à me baiser de la sorte mais aussi qu’il était non loin de jouir.
Alors, je me relevai, enlevai sa capote et pompai sa bite avec fougue tout en agitant de mes doigts sur mon clito.
J’avais vu juste puisqu’il ne mit que quelques secondes à gicler dans ma bouche pendant que moi j’avais pris mon pied en me masturbant.
J’eus un haut le cœur puis avalai d’un coup toute sa semence. Il m’embrassa à nouveau puis nous nous sommes rhabillés.
Durant toute la période ses cours particuliers, nous avions conclu un marché. Il faisait bien ses exercices et il pouvait baiser sa petite cougar en récompense…
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