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Une belle maison, des tunes, une voiture et une bonne pour me servir ? Que demander de plus lorsque l’on a 22 ans. Oui son indépendance mais bon pour le moment je me plais bien chez papa et maman et cela comporte un bon lot d’avantages.
J’ai toujours aimé pouvoir m’offrir de belles choses et avoir un train de vie confortable. Cependant, je n’aurais jamais pensé que cela irait jusqu’à me baiser la bonne, une véritable cougar!

Il y a un mois il m’est arrivé un truc totalement fou que je vais vous raconter dans les moindres détails.

L’année dernière mes parents ont embauché une bonne afin de soulager ma mère. Elle s’appelle Béatrice, 45 ans, un physique assez banal et relativement timide. À vrai dire, tant qu’elle fait son boulot, on s’en fout de son physique.
Je me suis aperçu à plusieurs reprises que cette dernière avait tendance à me mater et même mon père s’en est aperçu mais ni l’un ni l’autre lui en a fait la remarque.
Il faut dire que pour un jeune de 22 ans se faire reluquer par une femme d’âge mûr n’est pas super glorifiant. Enfin bref…

Mes parents partent assez souvent en week-end avec leurs amis et je me retrouve donc à chaque fois seul à la maison avec la bonne pour seule compagnie. Je sors régulièrement et de ce fait je ne suis que très rarement avec elle.

Seulement, le mois dernier, notre soirée habituelle avec mes potes a été annulée au dernier moment et je suis donc resté à la maison le samedi soir.
Étant blasé, je me suis calé tranquille dans mon lit avec au programme séries en tout genre et pour finir un bon porno.
Ayant l’habitude de me vider les couilles à chacune de mes soirées, il ne fallait pas que je déroge à la règle même si c’était à la force de mon poignet.

Une fois passé le visionnage de mes séries, je lançai mon petit porno la bite déjà bien en main. Entre deux gémissements de la fille qui se faisait démonter dans mon film, j’entendis des bruits de pas dans le couloir. C’était sûrement Béatrice qui devait avoir quelque chose à faire.
D’un coup, la porte de ma chambre s’ouvrit légèrement et je vis sa tête passée. J’étais là à moitié couché sur mon lit avec ma queue à la main et un film porno en guise de bruit de fond.
Béatrice s’excusa aussitôt puis tout en parlant elle entra dans ma chambre.

Je lui demandai de bien vouloir sortir mais elle continua à s’avancer vers moi en me murmurant :

«Que dirais-tu de me baiser plutôt que de te branler ? Tu y trouveras ton compte et moi le mien par la même occasion ! »

Je n’eus même pas le temps de répondre qu’elle se jeta sur moi et m’embrassa à pleine bouche. Nos langues se mélangeaient naturellement tout comme nos salives.
Elle était vêtue d’un peignoir que je lui ôtai rapidement. En dessous se cachait une jolie nuisette très légère niveau tissu.
Elle se l’enleva et se retrouva uniquement en petite culotte. Certes elle avait un physique assez banal mais une poitrine bien ferme et dessinée avec de larges mamelons que je m’empressai de pincer et tourner. La coquine aimait bien ça.

Béatrice était quasi couchée sur moi alors en se trémoussant elle descendit à hauteur de ma bite qu’elle prit le soin de branler avec ses mains délicates puis elle entama une bonne pipe. Avec sa langue, elle s’amusait à titiller mon gland ce qui faisait qu’augmenter mon excitation.
Elle se retira quelques fois afin de lécher mes boules et ma bite de toute sa longueur. On ne m’avait jamais sucé de la sorte !
Mon engin tendu à son maximum, je n’avais qu’une envie, lui défoncer sa chatte de cougar !

Elle a dû lire dans mes pensées car deux secondes après la voilà en train de chevaucher popole telle une athlète de haut niveau. Tantôt elle augmentait son déhanché tantôt elle le ralentissait. C’était putain d’excitant.
Elle fit cela pendant un bon moment. Je n’ai pas pour habitude de me faire baiser alors je lui demandai de se relever et la mis en levrette.
J’avais sous mes yeux sa chatte bien trempée et son petit anus. L’un comme l’autre allait y penser.

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Je commençai par enfoncer bien au fond de sa matrice toute ma bite et la martelai de violents coups de reins. A chacun d’eux, elle gémissait de plus en plus fort.
Je m’agrippai en même temps à ses seins et les malaxai avec puissance. Je crois que dans mon élan je lui ai carrément broyés.

Je voyais ma queue aller et venir dans sa chatte et son fion qui ne demandait qu’à se faire dilater.

Qu’à cela ne tienne, j’huilai sa rondelle de ma salive avant d’y entrer un doigt pour le préparer à recevoir ma queue.

La cougar montra un peu de résistance mais se laissa rapidement enculer. Aux sons de ses cris, je pus déceler de la douleur associée à du plaisir. J’y allais quand même doucement avec parfois des coups un peu plus vigoureux.

Au fur et à mesure, je sentis qu’elle était de plus en plus à l’aise alors j’augmentai la puissance de mes va et vient jusqu’à ce qu’elle se délivre avec un orgasme anal assez conséquent.

Elle avait pris son pied mais pour ma part, mon engin était encore bien en forme.
Béatrice se mit à genoux face à lui et le prit entièrement en bouche. Je pris sa tête entre mes mains et me branlai littéralement avec sa bouche.
L’excitation atteignit un niveau tellement élevé que je déchargeai tout mon sperme au fond de sa gorge. Elle eut un léger haut le cœur mais avala tout.

C’était non seulement la première fois que je baisai une cougar mais aussi que l’on me faisait une gorge profonde. Comme quoi, cela a du bon de baiser avec une femme mature !

Sans un mot, elle quitta ma chambre et nous avons remis ça deux ou trois jusqu’à ce qu’elle quitte son poste.

 

Crédit photo : naughtydrive.com, cougar-mag.com