Je m’appelle Christine, j’ai 58 ans et je suis mère au foyer. Je suis brune aux yeux verts, 1m70, 68 kilos, une poitrine généreuse (95E) et quelques belles formes bien placées. Depuis quelques années, j’ai pu décrocher un job à distance et j’ai la chance de pouvoir travailler de chez moi tout en m’occupant de mes 3 enfants.
Je suis célibataire, je l’ai toujours été. Mon grand fils, Éric, a 25 ans et est le fruit d’une rencontre sans lendemain. Il est le seul homme de la maison, puisque les 2 autres sont des filles. Même si aucun homme autre que mon fils ne vit avec moi, j’ai eu une vie sexuelle bien remplie, du moins jusqu’à la dixième année d’Éric, moment où j’ai décidé qu’il fallait lui donner un meilleur exemple, plus conforme à la morale. Depuis cette année, je n’ai plus eu de relations sexuelles avec un homme et je me suis contentée de me faire plaisir toute seule. Je me suis, alors, acheté quelques joujoux bien efficaces et coquins et je me masturbais souvent la nuit, après le coucher de mes enfants.
L’histoire que je veux vous raconter dans ce récit est de la pure réalité. Il y a une dizaine d’années, j’avais alors 48 ans et mon fils un peu plus de 16 ans. Un soir d’été, il a décidé d’inviter son meilleur copain pour dormir chez nous. Ce jour-là, une chaleur étouffante avait régné toute la journée et jusqu’au soir. La nuit arrivée, je suis allée dans ma chambre après m’être assurée que tout le monde dormait paisiblement. Vu la chaleur qu’il faisait, je m’étais endormie nue, porte et fenêtre de ma chambre grandes ouvertes pour faire du courant d’air.
Vers deux heures du matin, je me suis réveillée en sueur suite à un rêve érotique qui m’avait bien excitée. Frustrée de n’avoir pas abouti dans ce rêve, j’ai glissé ma main entre mes cuisses et j’ai commencé une de ces séances de masturbation qui me donnaient tellement de plaisir et m’emmenaient jusqu’à l’orgasme.
Alors que je me caressais et me masturbais de plus en plus rapidement, je ne m’étais pas rendue compte que mes soupirs et mes gémissements de plaisir avaient réveillé l’ami de mon fil. Il ne savait pas que je l’ai vu, mais il était là, à la porte de ma chambre, torse nu. Il tenait sa bite en érection dans une main et se branlait. Malgré le noir de ma chambre, il me regardait me caresser grâce à l’éclairage public qui illuminait légèrement mon corps.
J’avais remarqué depuis quelques mois que ce petit me regardait de plus en plus bizarrement et que ses regards allaient souvent vers mes seins, mes fesses et même, lorsque c’est possible, vers mes cuisses et mon entre jambes.
Je dois l’avouer, au début j’étais surprise mais flattée. Je pris de plus en plus de plaisir à me masturber devant lui. Voyant aussi qu’il était très excité aussi et que sa bite était vraiment grosse, je l’ai invité sur mon lit. Alors que j’étais étendue sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, il monta sur le lit, se mit entre les jambes et introduisit sa queue dans ma chatte assoiffée de plaisir.
Plusieurs minutes passèrent alors qu’il me baisait dans diverses positions. Soudain, il s’arrêta, sa queue encore enfoncée dans ma chatte. Il se vidait les couilles dans mon vagin. C’était une image incroyable ! Je récupérais doucement une respiration plus normale pendant qu’il retirait sa bite, laissant couler son sperme frais entre mes levers et la raie de mes fesses.
Avec une voix encore bien enfantine et discrète, il me confia plus tard qu’il avait toujours eu le fantasme de baiser une MILF à gros nichons. Ça l’obsédait, ça hantait ses pensées et ça lui faisait gonfler la braguette chaque fois qu’il croisait une mature bien portante dans la rue. C’est réconfortant pour une femme de mon âge de me savoir autant désirée par un jeune mâle.
FIN