Pour mes dernières vacances, j’avais décidé de partir dans un club de vacances dans le Sud de la France. En effet, je m’étais dit que ce serait un endroit sympa où je pourrais sûrement faire des rencontres.
J’étais séparée de mon conjoint depuis trois ans et mes enfants étaient grands à présent. La solitude commençait légèrement à me peser…
Arrivée sur les lieux, il faisait très chaud. Évidemment, je venais de Paris donc pour quelqu’un comme moi il faisait rapidement chaud !
Je posai alors mes affaires dans mon bungalow. Il était cosy et non loin de la piscine.
Une fois tout en place, j’enfilai mon maillot et en route direction la piscine.
Il y avait pas mal de monde donc tant bien que mal je finis par trouver un petit transat puis m’installai.
L’ambiance était décontractée. Il y avait des couples, des familles et des personnes seules comme moi.
Mais ce n’est pas sur ces gens là que mon regard s’est stoppé mais plutôt sur le maître nageur.
Il était d’une beauté à couper le souffle avec un corps digne des nageurs professionnels.
Lorsque nos regards se sont croisés, j’ai eu droit un petit sourire auquel je rendis la pareille.
Il faisait une telle chaleur que je ne me fis pas prier pour faire un plouf. Même dans l’eau je continuais à le mater et voyais qu’il été assez réceptif.
Une bonne heure passée dans l’eau et je sortis histoire de faire bronzette.
Était-ce la fatigue du voyage ou bien ma baignade qui m’avait crevée mais je m’endormis aussitôt.
Au bout d’un moment, le maître nageur vint me réveiller. La honte…
Alors certes je m’étais bien reposée mais j’avais chopé un bon coup de soleil !
Il me dit qu’il fallait que je mette de la crème apaisante rapidement pour éviter de peler ou que ça chauffe trop.
Problème, j’avais pensé à tout sauf à ça ! Il m’a alors proposé de m’en apporter. Il avait justement fini sa journée de taf.
Je me suis rendue dans mon bungalow et même pas dix minutes après il était en train de frapper à la porte.
Il était là face à moi avec son petit maillot et le flacon de crème à la main. Je le fit entrer.
Il me conseilla tout de même de prendre une douche histoire d’avoir la peau bien propre avant de passer la crème. Je m’y rendis de suite et ressortis enroulée d’une serviette.
Je m’allongeai sur le lit en prenant soin de bien garder la serviette sur mes fesses. Il mit du cœur à l’ouvrage pour passer la crème apaisante. Il massait très bien et cela faisait monter en moi une certaine excitation.
Par moment, il descendait sur la hauteur de mes fesses, ce qui ne faisait qu’accentuer mon désir pour lui.
J’espérais juste une chose, que mon sexe ne soit pas en train de fuiter. Voyant que j’étais à l’aise, il prit la liberté d’enlever la serviette. J’étais cul nu face à ce maître nageur totalement craquant.
À la fois, il me caressait et me massait les fesses, c’était trop excitant pour moi.
Alors d’une main, je me mis à palper sa bite à travers son maillot. Le petit coquin était excité tout comme moi. Je sentis sa pine durcir au fur et à mesure de mes caresses.
Je me relevai et m’y jetai dessus telle une grosse chaudasse.
Je l’ai gobé et bouffé jusqu’à ses boules.
Il avait l’air de fortement apprécié cette pipe. Avec un doigt, je m’amusais même à chatouiller son petit trou. Ça le rendait complètement fou !
Nous étions aussi bouillants l’un que l’autre. Il mit une capote puis je lui demandai de s’asseoir de manière à ce que je puisse m’empaler sur sa grosse bite. De là j’ai ondulé mon corps en prenant soin de bien bouger mon cul.
Je m’excitais carrément sur son engin. Pendant ce temps, il malaxait, pinçait mes seins, c’était trop bon !
Je pensais que l’on allait faire soft en faisant d’autres positions mais non, mon maître nageur avait une autre idée en tête.
Il me proposa de me mettre en levrette à même le sol et s’est mis à fourrer sa langue dans mon cul.
Cela n’était pas uniquement pour me faire un anulingus mais plutôt pour le préparer à recevoir sa queue.
Trente secondes après, je sentis son gland caresser délicatement ma rondelle avant de tenter une pénétration. Je fis un petit sursaut puis me laissai aller sous la puissance de ses allers retours.
Après m’avoir faite jouir, je l’ai fini à la bouche et il a giclé sur ma poitrine.
Il avait réveillé la cougar qui était en moi et dont je ne soupçonnais pas l’existence. Mais surtout il m’avait baisé comme personne.
Nous nous sommes revus tout le long de notre séjour et avons baisé dans presque tout le village de vacances…
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