Je venais juste de sortir de la douche, encore toute mouillé, lorsque la sonnette a retenti. Je pris une serviette et l’enroulai autour de ma taille et me dirigeai vers la porte d’entrée. J’ai légèrement ouvert la porte pour savoir qui était là.
« C’est madame Colette », dit la dame derrière la porte.
« Maman n’est pas encore à la maison madame Colette. », répondis-je.
« Je sais, je viens de lui parler et elle m’a dit qu’elle sera là dans une heure ou deux et que je pourrais venir l’attendre ici. ». J’ai alors ouvert la porte un peu plus et l’ai invitée à entrer.
« Je viens de sortir de la douche », ai-je annoncé. Je m’éloignai de la porte et elle pénétra dans le hall. Je me cachais derrière la porte mais elle ne voulait pas aller plus loin alors j’ai dû fermer la porte. « Mon dieu, tu as bien grandi, Mathieu ». Elle tendit la main et toucha légèrement mon biceps droit. « Tu fais de la musculation ? Tes bras sont bien sculptés ». Je frissonnai et murmurai : « Non, mais je joue au basketball au lycée ». Elle me caressait toujours le bras et je réalisai tout à coup l’effet qu’elle avait sur moi et mon pénis qui commençait à se redresser sous ma serviette.
Mme Colette baissa les yeux et vit le résultat de ses gestes. « Ça a bien grossi à ce que je vois », dit-elle d’un ton coquin. Elle tendit la main et attrapa mon sexe à travers la serviette qui était sur le point de tomber, et le caressa lentement de haut en bas. Ma bite était plus dure que jamais. « Tu es devenu un bel homme maintenant ». « Eh bien, je suppose. J’ai fêté mon dix-huitième anniversaire il y a deux jours ». « Ah oui, c’est vrai, je me souviens que ta mère avait mentionné cela au travail ». La serviette tomba et madame Colette avait désormais ma bite dure dans sa main et elle continuait à me caresser lentement en parlant avec une voix très douce.
« Est-ce qu’on t’a déjà sucé la queue ? »
« Non, je n’ai jamais rien fait. »
Alors qu’elle me regardait droit dans les yeux, elle se laissa tomber à genoux sur le carrelage du hall d’entrée.
« Veux-tu que je te suce Mathieu ? »
« Euh oui », je bégayai en tremblant comme une feuille sur un arbre.»
Tout en me regardant dans les yeux, elle sortit sa langue et lécha la goutte de liquide qui s’était échappée sur le bout de mon sexe. J’ai gémi et cela encouragea Mme Colette parce qu’elle a ouvert la bouche, y a introduit majorité de ma queue et a commencé à la sucer furieusement. Pendant ce temps, sa tête se balançait de haut en bas jusqu’à ce que je puisse sentir le début de sa gorge.
Après quelques instants, elle a retiré ma queue des profondeurs chaudes de sa cavité buccale et, en la caressant amoureusement sur sa joue, m’a demandé : «Est-ce que ça te plait ? Est-ce comme tu l’imaginais ? Parce que moi j’adore sucer ta bite »
« Oh mon Dieu, oui Mme Colette, j’aime ce que vous faites, ça fait tellement du bien »
« Je veux que tu jouisses dans ma bouche et me faire avaler tout ton jus, d’accord ? »
Tout ce que je pouvais faire était de gémir, ma bouche étant trop sèche pour parler, je hochai la tête vigoureusement. Elle a enfouit de nouveau ma bite dans sa bouche et a recommencé à me sucer. Je sentis mon gland s’enfoncer dans sa gorge et ses lèvres étaient plaquées contre mes poils pubiens.
Elle sortit sa langue et lécha toutes les parties qu’elle pouvait atteindre. Elle s’attarda un peu sur mes boules, qu’elle suça aussi. Puis, avec les lèvres serrées, elle commença à aspirer mon gland.
« Oh mon Dieu, je vais jouir, Mme Colette ». Elle en était déjà consciente car elle a enfoncé ma bite au fond dans sa gorge pour avaler mon sperme. Elle saisit ensuite mes boules gonflées et les tira doucement vers le bas. La salive coulait de sa bouche sur sa main qui tenait mes couilles.
Elle sortit ma queue de sa bouche, essoufflée et les yeux larmoyants, et dit : « Remplis-moi la bouche de ton sperme, Mathieu. Je veux que tu jouisses dans ma bouche, je veux ton sperme, Mathieu, s’il te plaît, vas-y ! »
J’essayais de prolonger l’extase, mais d’entendre cette femme de 40 ans prier pour que je me vide dans sa bouche, ma bite lâcha le premier coup de jus directement sur sa langue. Le coup suivant était tout au fond de sa gorge. Mme Colette a alors enveloppé mon gland avec ses lèvres et m’a sucé très fort. Elle ne voulait pas perdre une seule goutte de mon sperme et avalait tout ce que j’avais tiré.
Ma bite ramollie glissa de sa bouche et je baissai les yeux vers Mme Colette. Elle me regardait et souriait. « Ton sperme était tellement important que je ne pensais pas pouvoir avaler assez vite. Qu’as-tu pensé de ta première pipe Mathieu? ».
Avant que je puisse répondre, j’ai entendu claquer une portière de voiture.
Ma mère était déjà là.
FIN
crédit : privatemilfpics.com, hottux.fr