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J’habite depuis peu dans un immeuble au centre de Nantes. C’est la première fois pour moi que je vis seul et pour être honnête, je kiff bien de pouvoir avoir le rythme de vie dont j’ai envie sans avoir de compte à rendre à personne.

En bas de chez moi se trouve une boulangerie où j’ai l’habitude d’aller plusieurs fois par semaine chercher mon pain au chocolat.
Elle est tenue par une femme d’environ 40-45 ans, plutôt jolie et bien conservée pour son âge.

À force d’y aller, nous avons tout deux sympathisé et lorsqu’il n’y a pas de monde, nous discutons ensemble de tout et de rien.
C’est vraiment une femme adorable. D’ailleurs, je me demande encore comment elle n’a pas retrouvé quelqu’un depuis sa dernière rupture.

Un jour, alors que je rentrai de mon taf, nous nous sommes croisés devant la boulangerie qu’elle était en train de fermer.
J’ai pris mon courage à deux mains et lui ai proposé de monter à l’appart boire un verre.
Elle accepta immédiatement mon invitation. Dans l’escalier qui conduit à chez moi, je la fis passer devant. J’ai pu en profiter pour mater son petit fessier qui à vrai dire était pas mal du tout.

Une fois arrivés, elle s’installa sur le canapé. Je sorti une bouteille et des trucs à grignoter. La soirée défila sans même que nous nous en rendions compte. Le feeling passait très bien entre nous mais malheureusement Il était l’heure pour elle de partir car le lendemain elle bossait.

Pour me dire au revoir, elle déposa un baiser juste au bord de mes lèvres. J’en fis de même mais rapidement je l’embrassai à pleine bouche.

Il faut dire que cela faisait un bon moment que sa bouche me donnait envie…

L’alcool aidant, nous nous sommes dirigés vers ma chambre et avons ôté nos vêtements à la vitesse grand V. Une chose que je ne m’étais pas rendu compte auparavant est qu’elle avait une paire de miches à en faire pâlir plus d’unes.

Durant un moment nous nous sommes seulement caressés et embrassés jusqu’à ce qu’elle prenne les choses en main.
Elle s’est alors approchée délicatement de mon chibre afin de le prendre dans un premier dans sa main et d’entamer une branlette.
Ma boulangère avait une dextérité déconcertante. On ne m’avait jamais branlé de la sorte. Pendant ce temps, j’en profitai pour fouiller dans son intimité en la doigtant.

Puis d’un coup, elle a englouti ma queue. Sa langue tournait autour de mon gland ce qui m’excitait à fond.
Elle faisait des va et vient avec sa bouche qui n’avaient de cesse que d’augmenter mon excitation.
S’en était trop pour moi, il fallait que je la baise !

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Je la pris de manière à ce qu’elle s’empale sur mon dar mais face à moi. Elle se déhanchait comme une sauvage sur ma bite alors que j’avais ses nibards qui s’agitaient sous mes yeux.
Je ne pu m’empêcher de les dévorer, les lécher, les malaxer.

Par la suite, je l’ai prise en levrette afin de lui donner son compte et de la ramoner bien comme il faut. Ma boulangère cachait bien son jeu car il s’avérait que c’était une véritable cougar bien cochonne.

Plus elle gémissait et plus j’y allai fort, chose qu’elle appréciait fortement.

Le tout fit que je déchargeai tout mon foutre au fin fond de sa chatte toute luisante de cyprine.

Elle, sûrement du à son expérience, n’avait pas encore joui. Je ne pouvais la laisser comme cela. Je me mis à la doigter à nouveau.
J’avais sur mes doigts à la fois mon sperme et sa mouille. Le mélange était chaud mais pas désagréable.

J’y allai de plus en plus vite jusqu’à que je sente sa chatte se contracter sur mes doigts et son corps se cambrer le tout accompagné d’un râle de plaisir.

Je n’avais jamais baisé de cougar avant ma fameuse boulangère et je peux dire que cela était totalement fou et intense.
Nous nous sommes revus par la suite et avons remis cela plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle rencontre son mec.

Nos baises me manquent mais je ne désespère pas de la ramoner à nouveau dans quelques temps…

 

Crédit photo : ftopx.com, erog.fr